(source : Lyre Mâmediène, Olivier Lebierre, 1901)
“Pour cinquante centimes un vièloneu précédait les trèhes pendant une tournée; lu Grétry (un certain Copoix); Jhan Lînard; lu p’tit coûvlî; lu clépeu Mise dol Falihe, qui sautillait si bien en cadence avec son instrument et l’chainône Binot furent, parmi ces râcleurs de violon, les principaux types du siècle écoulé ».
Les “trèhes” à Malmedy, ce sont les “tresses”, une chaîne mêlée de garçons et de filles.